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Actualités / Analyses

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28-06-2004

LA PRESSE FRANCAISE SUR LE SOMMET DE L’OTAN A ISTANBUL

LA CROIX évoque l'Irak où LA TRANSITION SE PREPARE, LES VIOLENCES
S'INTENSIFIENT, "à l'approche du 30 juin, les attentats se multiplient contre
les Américains et ceux qui les soutiennent". Dans ce contexte, L'HUMANITE estime que L'OTAN PATINE A ISTANBUL où le président américain George W. "Bush, en échec à Bagdad, appelle les membres de l'Alliance atlantique à la rescousse".   

En tout cas, un sommet de l'OTAN sous pression, comme dit l'envoyé spécial du PARISIEN à Istambul, pour qui il faut prévoir de sérieuses passes d'armes entre Chirac et Bush. La France s'opposant à tout engagement de l'Alliance Atlantique en Irak, explique également le quotidien LE MONDE. Les alliés même de George Bush refusent l'envoi de renforts sur le terrain, souligne également LIBERATION pour qui en Irak, "l'OTAN  passe par la petite porte". Ce journal explique qu'on tente aujourd'hui de trouver à l'OTAN un nouvel avenir dans ses missions de rétablissement de la paix, dans les Balkans d'abord, et puis "hors zone" maintenant, comme en Afhganistan et à présent en Irak".

"Ne pas claque la porte au nez de l'Irak, sans pour autant donner des gages à Georges Bush, le chef de guerre en campagne pour sa réélection" : voilà, pour l'éditorialiste de L'EST REPUBLICAIN, le seul enjeu du sommet qui s'ouvre aujourd'hui à Istambul, à 48 heures de la passation des pouvoirs à Bagdad. L'OTAN qui patine à Istambul, estime L'HUMANITE en Une, le quotidien communiste s'interrogeant sur l'utilité aujourd'hui de cette organisation.

Libération (Patrick Sabatier)
  
   "Vue de Washington, l'Otan n'a aujourd'hui d'intérêt que si elle peut
fournir une couverture politique aux décisions militaires américaines et freiner
les aspirations de l'UE à une autonomie politique qui passe par le développement
d'une défense européenne. Pour les Européens (surtout ceux de l'Est), elle n'est
qu'une assurance vie et un moyen économique d'assurer leur défense, en la
confiant aux Etats-Unis. Ce seul fait déséquilibre l'Alliance et la vide de
sens. On tente de lui trouver un avenir dans des missions de rétablissement de
la paix, dans les Balkans d'abord, "hors zone" ensuite, comme en Afghanistan, et
à présent en Irak. (...) Les Européens  ont conscience qu'il ne serait pas avisé
de laisser l'Afghanistan ou l'Irak s'enfoncer dans le chaos propice au
terrorisme. Mais  l'Otan ne doit pas se laisser entraîner dans des guerres
"préventives", comme celle d'Irak, en application d'une stratégie américaine
qu'on sait erronée, voire dangereuse."

L'Humanité (Bernard Duraud)
  
   "Les États-Unis, entrés en Irak par effraction de la volonté internationale,
tentent aujourd'hui de se tirer du bourbier né de l'occupation militaire par la
voie de l'OTAN, dont le sommet s'ouvre ce lundi à Istanbul. (...) Dans cette
perspective, la stratégie des États-Unis vise à maintenir leur hégémonie, en
tentant de solidariser derrière eux ses partenaires occidentaux, par la mise en
avant et le contrôle de forces multinationales. On peut comprendre le bénéfice
politique d'un tel tour qui élargirait hors de l'aire géographique constituée
par le traité de l'Atlantique Nord, l' intégration d'un nombre plus grand des
pays participant à la force d' intervention internationale. Et Bush, pendant ce
temps, pourrait vaquer à ses occupations, plus électoralistes celles-là."



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